I love the word “antebellum”, although I was always thrown by how the “-bellum” part made it about war, instead of beauty; we have so few other words with that root (“belligerent” is the only one that springs to mind) that it’s actually quite striking.
(As an aside: I love “antediluvian” too. Is there an “ante-” word for before the Fall of Adam and Eve? I seem to remember running across it once.)
I also think this is my favourite song off the new album.
En automne,
Nous nous baladons à travers les feuilles
et parlons des petits.
Et nous sourions, mais ne disons jamais trop.
L’instant s’éloigne toujours.
Les lumières des voisins s’allument un à un
Notre jour d’octobre est presque fini.
Je connais les limites que nous avons tracées entre nous
Garder bas les armes
Garder sains et saufs les blessés
Je sais que notre innocence d’avant-guerre
n’était pas censée voir la lumière de notre journée d’armistice
Au printemps,
nous avons monté les collines
et parlé de nos plans naissants
Et nous avons souri
Nos figures comme la glace
qui montraient nos côtés secrets
Mais puis les luttes
Les mots tranchants déchirant la nuit,
comme je ne pourrais pas être celle dont vous auriez besoin 1I had originally had “tu” instead of “vous” in here, but the more I think about, the more “vous” seems to make sense: the song is about limits and disengagement, ultimately; therefore, a return to the more formal “vous” seems logical.
mais… comme je pouvais vous faire saigner—
Je connais les limites que nous avons tracées entre nous
Garder bas les armes
Garder sains et saufs les blessés
Je sais que notre innocence d’avant-guerre
n’était pas censée voir la lumière de notre armistice
Qu’est-ce que je donnerais pour la rattraper
Combien avons-nous perdu
pour vivre de cette manière ?
Vous, vous rentrerez—moi, je resterai—
la marche des saisons continuera—
moi, je resterai—vous, vous rentrerez
et seuls les inconnus regarderont—
[Random fangirl note of SQUEE]: I love this song so, so much.
↑1 | I had originally had “tu” instead of “vous” in here, but the more I think about, the more “vous” seems to make sense: the song is about limits and disengagement, ultimately; therefore, a return to the more formal “vous” seems logical. |
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